Nous avions le choix entre plusieurs voitures ou plutôt plusieurs clichés culturels. D'un côté un couple de Français, propriétaire d'un van, qui nous fait marcher un temps certain jusqu'au lieu de rendez vous qu'il a lui même fixé ; nous laisse poireauter et finalement change d'avis et nous laisse en plan. Peut être pour épouser la cause du gréviste le plus proche.
Ensuite un suisse, propriétaire d'un break. D'un naturel relax il ne souvient plus très bien du nombre de roues que possède sa voiture, de l'historique des travaux fait dessus car après l'avoir obtenu pour quelques noisettes il aimerait la revendre pour l'équivalent de tout le chocolat du pays.
Enfin, une allemande propriétaire du même break. Factures à l'appui, tarif compétitif, entretien nickel, elle nous décide de nous laisser tenter par ce petit cliché si facile associant allemand et automobile.
Après tout on ne sait jamais, les clichés ont sûrement une petite part de vérité ?
C'est ce que finit par ce dire ce petit couple de français qui passe son temps à râler et à papoter, à demander tous les détails possibles sur les véhicules alors qu'il n'y connaît rien.
C'est au volant de notre nouvelle amie motorisée (et manuelle !) ronronnant comme un chat (mais un gros) que nous quittons Andréa, triste de se séparer de sa compagne de voyage pour rentrer en Europe.
Anecdote sur les clichés : parfois, lorsque l'on se présente en tant que Français on nous demande où sont les bombes. Généralement il nous suffisait de regarder notre interlocuteur avec des yeux de merlan frit pour qu'il explique de lui même sa blague, déçu. On va voir si vous faites le rapprochement suffisamment rapidement pour ne pas avoir l'air con dans la conversation !
La réponse sera dans les commentaires de l'article.
Robin et Elodie.
Je pense avoir la réponse! !
RépondreSupprimerBah apparemment tu es le seul !
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